Le patrouilleur « La Pique » est affecté à la surveillance des côtes oranaises, dans la région de Nemours.
fonds guerre d’algérie
A l’occasion du départ des dernières troupes françaises d’Alger, une prise d’armes a lieu sur le port en présence de l’ambassadeur de France,
Le centre de haute montagne de Tikjda, situé en grande Kabylie, accueille depuis le 20 mai 1962 les chasseurs alpins.
La conclusion des accords d’Evian relatifs au « Cessez le feu » en Algérie engage dans son article n°2 à interdire tout recours aux actes violents entre le FLN et les forces françaises.
Opposée aux discussions relatives aux accords d’Evian, l’Organisation armée secrète (OAS) a plastiqué les boutiques de divers quartiers d’Alger tels que Bab-el-Oued, la Casbah ou Belcourt.
C’est dans des camps de tentes provisoires situés aux environs de Bône que les harkis et leur famille attendent leur départ de l’Algérie pour la France.
Dans la petite ville portuaire de Collo et ses environs, le capitaine Fabich commande les 600 harkis répartis dans 11 harkas et divisées en commando.
A la suite du limogeage du général Massu par le général De Gaulle, des manifestants sont descendus dans les rues d’Alger, encadrés par des milices.
Un groupe de nomades Reguibat, appelés communément « hommes bleus », par leur port d’un chèche bleu, est employé par la Compagnie saharienne portée d’infanterie de Marine (CSPIMA) comme harkis.
De nouveaux postulants harkis se présentent au bureau de Palestro, en Kabylie, pour signer un engagement au sein de l’armée française.
Après les succès remportés en Oranie et dans l’Algérois, le général Challe (nouveau commandant en chef de la Xe région militaire) lance l’opération »Jumelles » en Kabylie.