Depuis ses échecs enregistrés dans la Somme et dans l’Oise lors des offensives de mars et d’avril 1918, le haut commandement allemand élabore de nouvelles attaques en vue d’enfoncer le front allié affaibli.
La bataille du Matz, la route de Paris est sauvée.
Le 9 juin 1918, après le succès remporté dans l’Aisne, une attaque est dirigée dans la région du Matz, située entre Montdidier et Noyon. Tenues par la 3e armée, les lignes françaises sont bousculées, donnant la possibilité aux Allemands de s’emparer de la route de Compiègne et de celle de Paris. Dès le 11 juin, l’infanterie française et les chars sont engagés pour reprendre l’initiative et parviennent, malgré de lourdes pertes, à repousser les Allemands.
Les Alliés sur le front de l’Aisne: les Américains au Bois de Belleau.
Dans l’Aisne, les troupes alliées tiennent difficilement les points de passage sur la Marne. Dans la région de Château-Thierry, les unités françaises et américaines parviennent à repousser les Allemands. Dans le Bois de Belleau, situé à dix kilomètres au nord-ouest de Château-Thierry, la 2e division d’infanterie américaine, qui comprend la 4e brigade de Marines reprend les positions tenues par les Allemands au prix de lourdes pertes.
Les soutiens des armées et Paris face aux bombardements.
Les troupes alliées bénéficient d’un soutien matériel moderne. Sur les pentes des monts des Flandres, les défenseurs français tiennent le terrain ravagé par les combats. A Paris, les bombardements par canons et par avions se poursuivent, provoquant un exode de la population dans les gares parisiennes. Pendant ce temps, les privations liées aux restrictions alimentaires imposées à la population parisienne se poursuivent.
La bataille du Matz, la route de Paris est sauvée.
Le 9 juin 1918, après le succès remporté dans l’Aisne, une attaque est dirigée dans la région du Matz, située entre Montdidier et Noyon. Tenues par la 3e armée, les lignes françaises sont bousculées, donnant la possibilité aux Allemands de s’emparer de la route de Compiègne et de celle de Paris. Dès le 11 juin, l’infanterie française et les chars sont engagés pour reprendre l’initiative et parviennent, malgré de lourdes pertes, à repousser les Allemands.
Les Alliés sur le front de l’Aisne: les Américains au Bois de Belleau.
Dans l’Aisne, les troupes alliées tiennent difficilement les points de passage sur la Marne. Dans la région de Château-Thierry, les unités françaises et américaines parviennent à repousser les Allemands. Dans le Bois de Belleau, situé à dix kilomètres au nord-ouest de Château-Thierry, la 2e division d’infanterie américaine, qui comprend la 4e brigade de Marines reprend les positions tenues par les Allemands au prix de lourdes pertes.
Les soutiens des armées et Paris face aux bombardements.
Les troupes alliées bénéficient d’un soutien matériel moderne. Sur les pentes des monts des Flandres, les défenseurs français tiennent le terrain ravagé par les combats. A Paris, les bombardements par canons et par avions se poursuivent, provoquant un exode de la population dans les gares parisiennes. Pendant ce temps, les privations liées aux restrictions alimentaires imposées à la population parisienne se poursuivent.