Depuis 1990, les troupes françaises sont présentes sur le territoire rwandais afin d’apporter un soutien militaire au régime en place, en vertu de l’accord d’assistance militaire technique passé entre la France et le Rwanda en 1975.
Catégorie : Opérations
Les photos d’opérations
Pendant une semaine, fin janvier, des hommes du Groupement de commandos de montagne (GCM) se sont entrainés dans les Alpes avec le Groupement militaire de haute montagne (GMHM).
Lundi 9 avril et durant 4 jours, l’état-major tactique, les requins de la 1ère compagnie et les canaris de la 3ème compagnie du 8ème RPIMa
Le sauvetage en mer, dangereux et exigeant, impose aux 65 hommes de la flottille 32F un entraînement très poussé. Partagez, grâce au regard des photographes de l’ECPAD, une journée-type de leur quotidien.
Le sauvetage en mer, dangereux et exigeant, impose aux 65 hommes de la flottille 32F un entraînement très poussé. Partagez, grâce au regard des photographes de l’ECPAD, une journée-type de leur quotidien.
Le début de l’année voit une réorganisation technique des forces françaises déployées. En effet, les forces spéciales qui, sous les ordres des américains participaient à l’opération « Enduring freedom », sont retirées du théâtre afghan.
En 2006, la coalition engagée en Afghanistan entre dans une logique de stabilisation et malgré l’insécurité qui règne sur ce théâtre, l’édification des institutions afghanes progresse indubitablement.
En 2005, après plus de 3 ans d’intervention, l’absence d’un état fort et centralisé en Afghanistan rend toute perspective de changement profond peu probable à court et moyen termes.
Engagées dès les premiers jours des opérations en Afghanistan, aux côtés de la coalition combattant le terrorisme, les armées françaises ont réussi de concert un ensemble de missions dans un environnement afghan particulièrement difficile.
Les premières élections législatives et provinciales en Afghanistan depuis 30 ans sont fixées au 18 septembre 2005, et constituent la conclusion du volet politique du processus engagé à Bonn le 22 décembre 2001.
Ouverte le 14 décembre 2003, la Loya Jirga constitutionnelle, comprenant 502 membres, conclut ses travaux le 4 janvier 2004 par l’adoption d’une nouvelle constitution afghane qui prévoit un régime présidentiel avec un contrôle parlementaire fort. Ayant fait l’objet de marchandages politiques entre tadjiks et pachtounes, dans un contexte de fractures ethniques, elle consacre le recul d’influence des seigneurs de la guerre.